Fonds Gerard Conte "Dossiers" Lot 1
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Images "Nouvelles Orléans 1"
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No 1: Les habitants de la Nouvelle Orléans ont très mal accepté l'occupation de leur ville par les troupes nordistes. Devant l'accueil hostile de la population, le général Butler fit afficher une proclamation dans laquelle il menaçait de traiter les femmes de la Nouvelle Orléans comme des prostituées. Cet excès lui valut d'être limogé.

No 2: Il ne faut pas croire que tous les orchestres de La Nouvelle Orléans ont émigré vers le Nord après la fermeture de Storyville. Beaucoup de formations restèrent sur place mais nous sont restées fort mal connues parce que le Sud ne possédait aucun studio d'entregistrement jusqu'à la fin des années 1940. Les quelques documents sonores enregistrés antérieurement ne proviennent pour l'essentiel que de séances réalisées grâce à des équipes envoyées dans le Sud pour le compte de grandes marques (0.K, Blue Bird, Columbia, Victor). Le matériel était alors transporté par camion et les enregistrements réalisés dans des locaux pas toujours adaptés pour une prise de son convenable. Le New Orleans Creole Jazz Band d'Amos White (1889-1980) n'a jamais pu enregistrer mais il a été actif à La Nouvelle Orléans de 1918 à 1922 pour ensuite jouer dans les principaux restaurants et dancings bordant le lac Pontchartain (West End, Spanish Fort, etc.).

No 3: Ce dessin de Pascin, de son vrai nom Julius Modocai Pincas (1885-1930), a pour titre 'Musique nègre à La Nouvelle Orléans' et date de 1917. Bien que simplement esquissé, ce dessin peut être considéré comme l'une des toutes premières représentations picturales d'un brass-band.

No 4: Les bateaux à roues du Mississippi ont permis aux premiers orchestres de jazz de s'expatrier (ne serait-ce que temporairement) de La Nouvelle Orléans et de faire connaître leur musique jusqu'à Saint Louis. Il faut toutefois souligner le fait que les orchestres sélectionnés se devaient de jouer un répertoire quelque peu différent de celui du public populaire, la clientèle appartenant à un niveau social sensiblement plus élevé que celui des habitants de l'American Quarter de La Nouvelle Orleans. Le Delta Queen est est aujourd'hui l'un des derniers river-boats à perpétuer une tradition qui ne survit plus désormais que grâce au tourisme.

No 5: Longshormen's Hall appelé aussi Jackson Hall (2059 Jackson avenue). Le légendaire Buddy Bolden y a joué de nombreuses fois avant 1906 (Photo prise dans les années 1960).

No 6: Perseverance Hall (907, St Claude Avenue) était au début du XXème siècle un lieu particulièrement réputée. On notera dans la partie supérieure de la façade les symboles maçonniques (Photo prise dans les années 1960).

No 7: Le Masonic Hall d'Algiers (sur l'autre rive du Mississippi) était une autre salle fréquemment utilisée par les premiers orchestres de jazz (Photo prise dans les années 1960).

No 8-9: La seule photo que nous connaissons de l'orchestre de Charles 'Buddy' Bolden, l'un des tout premiers orchestres à jouer du jazz. Il existe encore aujourd'hui une querelle d'experts au sujet de cette photo qui a été maintes fois reproduite en partant d'une copie en très piteux état. Elle a été publiée pour la première fois (No 8) dans le livre 'Jazzmen' de Frederic Ramsey et Charles Edward Smith, paru en 1937 au États Unis (en 1948 en France) niais il a été constaté que le cornet tenu par Buddy Bolden était à l'envers et on en a conclu que le négatif de la photo avait été retourné au moment du tirage. Une autre photo a donc été tirée en tendant compte de cette observation (91 niais des musiciens se retrouvent gauchers, ce qui est nié par tous ceux qui les ont connus. Le mystère reste donc entier.

No 8-9: La seule photo que nous connaissons de l'orchestre de Charles 'Buddy' Bolden, l'un des tout premiers orchestres à jouer du jazz. Il existe encore aujourd'hui une querelle d'experts au sujet de cette photo qui a été maintes fois reproduite en partant d'une copie en très piteux état. Elle a été publiée pour la première fois (8°) dans le livre Jazzmen de Frederic Ramsey et Charles Edward Smith, paru en 1937 au États Unis (en 1948 en France) mais il a été constaté que le cornet tenu par Buddy Bolden était à l'envers et on en a conclu que le négatif de la photo avait été retourné au moment du tirage. Une autre photo a donc été tirée en tendant compte de cette observation (NO 9) mais des musiciens se retrouvent gauchers, ce qui est nié par tous ceux qui les ont connus. Le mystère reste donc entier.

No 10: Preservation Hall demeure aujourd'hui encore le haut lieu du jazz à La Nouvelle Orléans. Il souffre cependant de la présence souvent majoritaire de touristes venus surtout par curiosité ou recherche d'exotisme et non par amour de l'authenticité de la musique qui y est jouée.

No 11: L'Imperial Orchestra, actif entre 1900 et 1912. De gauche à droite: John MacMurray, George Filhe, James A. Palao, 'Big Eye' Louis Nelson, Rene Baptiste, Manuel Perez et Jimmy Brown (photo prise vers 1908).

No 12: L'orchestre creole de John Robichaux connaîtra une inconstestable et durable célébrité puisqu'il jouera de 1895 à 1927. Cette photo, prise en 1896, est l'un des plus anciens documents que nous possédons sur les origines du jazz en Louisiane. On remarque que la batterie est déjà constituée d'une grosse caisse et d'un tambour et que la formation possède deux violonistes.

No 13: Le clarinettiste George Lewis et le trompettiste Wiliam 'Bunk' Johnson en 1942. Ils symboliseront le retour en force de la musique Nouvelle Orléans (revival).

No 14: Acte de baptême (rédigé en latin) de Louis Armstrong. Ce document a permis de connaître très précisément la date de naissance du musicien (4 août 1901). Armstrong s'était vieilli de plus d'un an en 1918 en affirmant être né le 4 juillet 1900 afin de pouvoir souscrire un engagement dans l'armée américaine afin de pouvoir jouer dans les fanfares militaires. On notera que l'enfant est déclaré 'nigger' et 'illegitimus'.

No 15: Photo de l'orphéon du Colored Waif's Home (prise en 1914-1915) dans lequel Armstrong (indiqué par la flêche) apprit quelques rudiments de cornet à pistons.

No 16: Le Creole Jazz Band de King Oliver en 1923-24 à Chicago. C'est dans cet orchestre où il faisait fonction de deuxième cornet qu'Armstrong enregistrera ses premiers disques. Il y rencontera sa (deuxième femme) la pianiste Lil Hardin (à droite sur la photo).

No 17: Vue des 'studios' Gennett à Richmont dans l'Indiana. Ancien entrepot, le bâtiment se trouvait à côté d'une ligne de chemin de fer. Lorsque l'arrivée d'un train était signalée, la séance d'enregistrement était interrompue! C'est dans ce studio que furent enregistrés en 1923 les premiers disques du Creole Jazz Band de King Oliver.

No 18: Les Hot Five de Louis Armstrong en 1926, de gauche à droite: Armstrong, John St Cyr, Johnny Dodds, Kid Ory et Lil Armstrong (ex Hardin).

No 19: Le pianiste et chef d'orchestre Jelly Roll Morton (de son vrai nom Ferdinand Lamotte). Si son génie était indiscutable, sa modestie était toute relative: il n'hésitait pas à s'autoproclamer Originator of Jazz & Stomps!

No 20: Les Red Hot Peppers de Jelly Roll Morton, le plus exceptionnel des orchestres Nouvelle Orléans durant les années 1920.
Données indexées
CEMJazzId | Sujet | Infos_doc | Tags_doc | Notes |
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gct-thdoc-doss-no1-0 | Festival de Jazz Rive de Gier, 2000. Documents pour 'décorer' la salle où nous parlerons de la Nouvelle Orléans (sic). | Lettre de présentation. Lot de 20 tirages A4 de documents iconographiques sur l'histoire du Jazz à la Nouvelle Orléans. Liste des légendes, la plupart ont été découpées. il manque la numéro 11. | France, 2000. | A voir. |
gct-thdoc-doss-no1-i1 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 1: Les habitants de la Nouvelle Orléans ont très mal accepté l'occupation de leur ville par les troupes nordistes. Devant l'accueil hostile de la population, le général Butler fit afficher une proclamation dans laquelle il menaçait de traiter les femmes de la Nouvelle Orléans comme des prostituées. Cet excès lui valut d'être limogé. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i10 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 10: Preservation Hall demeure aujourd'hui encore le haut lieu du jazz à La Nouvelle Orléans. Il souffre cependant de la présence souvent majoritaire de touristes venus surtout par curiosité ou recherche d'exotisme et non par amour de l'authenticité de la musique qui y est jouée. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i11 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 11: L'Imperial Orchestra, actif entre 1900 et 1912. De gauche à droite: John MacMurray, George Filhe, James A. Palao, 'Big Eye' Louis Nelson, Rene Baptiste, Manuel Perez et Jimmy Brown (photo prise vers 1908). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. Légende originale perdue. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i12 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 12: L'orchestre creole de John Robichaux connaîtra une inconstestable et durable célébrité puisqu'il jouera de 1895 à 1927. Cette photo, prise en 1896, est l'un des plus anciens documents que nous possédons sur les origines du jazz en Louisiane. On remarque que la batterie est déjà constituée d'une grosse caisse et d'un tambour et que la formation possède deux violonistes. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i13 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 13: Le clarinettiste George Lewis et le trompettiste Wiliam 'Bunk' Johnson en 1942. Ils symboliseront le retour en force de la musique Nouvelle Orléans (revival). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i14 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 14: Acte de baptême (rédigé en latin) de Louis Armstrong. Ce document a permis de connaître très précisément la date de naissance du musicien (4 août 1901). Armstrong s'était vieilli de plus d'un an en 1918 en affirmant être né le 4 juillet 1900 afin de pouvoir souscrire un engagement dans l'armée américaine afin de pouvoir jouer dans les fanfares militaires. On notera que l'enfant est déclaré 'nigger' et 'illegitimus'. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i15 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 15: Photo de l'orphéon du Colored Waif's Home (prise en 1914-1915) dans lequel Armstrong (indiqué par la flêche) apprit quelques rudiments de cornet à pistons. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i16 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 16: Le Creole Jazz Band de King Oliver en 1923-24 à Chicago. C'est dans cet orchestre où il faisait fonction de deuxième cornet qu'Armstrong enregistrera ses premiers disques. Il y rencontera sa (deuxième femme) la pianiste Lil Hardin (à droite sur la photo). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i17 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 17: Vue des 'studios' Gennett à Richmont dans l'Indiana. Ancien entrepot, le bâtiment se trouvait à côté d'une ligne de chemin de fer. Lorsque l'arrivée d'un train était signalée, la séance d'enregistrement était interrompue! C'est dans ce studio que furent enregistrés en 1923 les premiers disques du Creole Jazz Band de King Oliver. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i18 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 18: Les Hot Five de Louis Armstrong en 1926, de gauche à droite: Armstrong, John St Cyr, Johnny Dodds, Kid Ory et Lil Armstrong (ex Hardin). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i19 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 19: Le pianiste et chef d'orchestre Jelly Roll Morton (de son vrai nom Ferdinand Lamotte). Si son génie était indiscutable, sa modestie était toute relative: il n'hésitait pas à s'autoproclamer Originator of Jazz & Stomps! | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i2 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 2: Il ne faut pas croire que tous les orchestres de La Nouvelle Orléans ont émigré vers le Nord après la fermeture de Storyville. Beaucoup de formations restèrent sur place mais nous sont restées fort mal connues parce que le Sud ne possédait aucun studio d'entregistrement jusqu'à la fin des années 1940. Les quelques documents sonores enregistrés antérieurement ne proviennent pour l'essentiel que de séances réalisées grâce à des équipes envoyées dans le Sud pour le compte de grandes marques (0.K, Blue Bird, Columbia, Victor). Le matériel était alors transporté par camion et les enregistrements réalisés dans des locaux pas toujours adaptés pour une prise de son convenable. Le New Orleans Creole Jazz Band d'Amos White (1889-1980) n'a jamais pu enregistrer mais il a été actif à La Nouvelle Orléans de 1918 à 1922 pour ensuite jouer dans les principaux restaurants et dancings bordant le lac Pontchartain (West End, Spanish Fort, etc.). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i20 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 20: Les Red Hot Peppers de Jelly Roll Morton, le plus exceptionnel des orchestres Nouvelle Orléans durant les années 1920. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i3 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 3: Ce dessin de Pascin, de son vrai nom Julius Modocai Pincas (1885-1930), a pour titre 'Musique nègre à La Nouvelle Orléans' et date de 1917. Bien que simplement esquissé, ce dessin peut être considéré comme l'une des toutes premières représentations picturales d'un brass-band. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i4 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 4: Les bateaux à roues du Mississippi ont permis aux premiers orchestres de jazz de s'expatrier (ne serait-ce que temporairement) de La Nouvelle Orléans et de faire connaître leur musique jusqu'à Saint Louis. Il faut toutefois souligner le fait que les orchestres sélectionnés se devaient de jouer un répertoire quelque peu différent de celui du public populaire, la clientèle appartenant à un niveau social sensiblement plus élevé que celui des habitants de l'American Quarter de La Nouvelle Orleans. Le Delta Queen est est aujourd'hui l'un des derniers river-boats à perpétuer une tradition qui ne survit plus désormais que grâce au tourisme. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i5 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 5: Longshormen's Hall appelé aussi Jackson Hall (2059 Jackson avenue). Le légendaire Buddy Bolden y a joué de nombreuses fois avant 1906 (Photo prise dans les années 1960). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i6 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 6: Perseverance Hall (907, St Claude Avenue) était au début du XXème siècle un lieu particulièrement réputée. On notera dans la partie supérieure de la façade les symboles maçonniques (Photo prise dans les années 1960). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i7 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 7: Le Masonic Hall d'Algiers (sur l'autre rive du Mississippi) était une autre salle fréquemment utilisée par les premiers orchestres de jazz (Photo prise dans les années 1960). | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i8 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 8-9: La seule photo que nous connaissons de l'orchestre de Charles 'Buddy' Bolden, l'un des tout premiers orchestres à jouer du jazz. Il existe encore aujourd'hui une querelle d'experts au sujet de cette photo qui a été maintes fois reproduite en partant d'une copie en très piteux état. Elle a été publiée pour la première fois (No 8) dans le livre 'Jazzmen' de Frederic Ramsey et Charles Edward Smith, paru en 1937 au États Unis (en 1948 en France) niais il a été constaté que le cornet tenu par Buddy Bolden était à l'envers et on en a conclu que le négatif de la photo avait été retourné au moment du tirage. Une autre photo a donc été tirée en tendant compte de cette observation (91 niais des musiciens se retrouvent gauchers, ce qui est nié par tous ceux qui les ont connus. Le mystère reste donc entier. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. | |
gct-thdoc-doss-no1-i9 | Dossier Festival de Jazz Rive de Gier. No 8-9: La seule photo que nous connaissons de l'orchestre de Charles 'Buddy' Bolden, l'un des tout premiers orchestres à jouer du jazz. Il existe encore aujourd'hui une querelle d'experts au sujet de cette photo qui a été maintes fois reproduite en partant d'une copie en très piteux état. Elle a été publiée pour la première fois (8°) dans le livre Jazzmen de Frederic Ramsey et Charles Edward Smith, paru en 1937 au États Unis (en 1948 en France) mais il a été constaté que le cornet tenu par Buddy Bolden était à l'envers et on en a conclu que le négatif de la photo avait été retourné au moment du tirage. Une autre photo a donc été tirée en tendant compte de cette observation (NO 9) mais des musiciens se retrouvent gauchers, ce qui est nié par tous ceux qui les ont connus. Le mystère reste donc entier. | Reproduction A4, papier fort. Voir gct-thdoc-doss-no1-0. | France, 2000. |